Du papier au numérique : les bouleversements de l'organisation de la presse
Présentation de notre problématique[modifier | modifier le wikicode]
La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante :
Du papier au numérique : les bouleversements de l'organisation de la presse
Le développement des nouvelles technologies a immanquablement mené à la création d'une presse numérique. Ainsi, le contenu de la plupart des articles s'est trouvé le plus souvent libre d'accès. Ainsi, 'Est-ce un réel bouleversement ?' 'N'est-ce pas plutôt une simple évolution ?' 'Quels changements dans le business model ?' 'Quel impact sur les employés ? ' 'Quelles adaptations nécessaires ?' seront autant de questions auxquelles nous essaieront de répondre au travers de notre enquête.
Notre dossier de production[modifier | modifier le wikicode]
Notre reportage[modifier | modifier le wikicode]
Notre article journalistique sur la problématique[modifier | modifier le wikicode]
Nul besoin d’étudier des séries de chiffres statistiques pour s’en rendre compte : de nos jours, les smartphones sont de plus en plus présents. Gadget par excellence pour tout ce qui est connexion et mobilité, les téléphones ne servent plus qu’à seulement appeler ou répondre à un appel, mais aussi à naviguer sur le web, et être tenu informé où que l’on soit. A travers les applications téléchargeables gratuitement, de nombreux journaux de renommée se lancent dans cette aventure numérique, rédigeant non seulement des sites internet tenus à jour en permanence, mais aussi à travers d’innombrables annonces envoyées sur votre smartphone afin de vous tenir informés de l’actualité brûlante. Aussi, on peut se laisser à penser qu’il n’y aurait alors plus aucun besoin des journaux. Est-ce à dire que le format numérique mènerait à la disparition du papier ? Si tel était le cas, quels défis aurait à relever l’industrie de la presse ?
Pour commencer, si l’on se fie à la substituabilité des biens, il paraît dès lors indéniable que le format numérique va peu à peu remplacer totalement le papier. C’est que les ordinateurs ou encore les smartphones offrent non seulement un accès à l’information, mais aussi en plus de ça toutes leurs fonctions plus ou moins pratiques. L’industrie de la presse subit en fait actuellement un changement de le mode de consommation des usagers, et sa nouvelle structure de coût n’est pas forcément pour lui déplaire.
Avec l’apparition des Nouvelles Technologies de Communication et d’Information, il est indéniable que de nombreux modes de consommation ont été bouleversés. C’est le cas pour l’information. C’est que pour commencer, le réseau 3G ou encore 4G, censé apporter l’internet sur les mobiles de leurs usagers est chaque jour plus développé. A ce titre, une information fraiche est toujours disponible pour le lecteur sur les sites internet, alors que l’information papier date du jour passé (le plus souvent), ou bien du jour qui vient de s’écouler (lorsque les journaux sont publiés le soir). Ensuite, grâce à la technologie des alertes, vous serez prévenu lorsqu’une affaire brûlante, suivie en direct, connaît des rebondissements ou lorsque des éléments supplémentaires s’y ajoutent. Enfin, un dernier atout considérable face au papier : il vous est possible de filtrer l’information ! C’est-à-dire que vous pouvez très bien ne demander qu’à être informé sur des sujets précis ou sur des sujets comportant des mots-clefs que vous aurez définis auparavant.
Ces changements de mode de consommation ne sont pas pour déplaire à la presse. En effet, le numérique possède de nombreux avantages sur l’impression papier. Pour commencer, il s’agit d’abord d’un coût marginal de production nul ! En effet, que coûte une visite de plus sur son site internet ? Rien. Au contraire, il s’agirait même d’une source de revenu supplémentaire, le visiteur étant susceptible de cliquer sur une publicité. En ce sens, le numérique fait perdurer la tradition de la presse d’un coût marginal faible. En effet, déjà sous le régime papier, l’impression d’une unité supplémentaire n’était que peu onéreuse ; il ne s’agissait qu’un peu d’encre et de papier supplémentaire, le travail de mise en page ayant été effectué auparavant. Quant aux coûts fixes, ils sont également bien moindres en numérique. Il ne s’agit là que de frais de plate-forme internet, de la location des locaux, et des salaires des journalistes ; des coûts incompressibles. On remarquera également que globalement, les prix numériques sont plus intéressants que les abonnements papiers pour les utilisateurs, de sorte qu’il y ait comme une incitation à s’abonner au numérique plutôt qu’au papier. Notons toutefois que les ventes d’articles à l’unité, qui sont possibles, sont extrêmement faibles en volume tandis que la vente de journal papier à l’unité est bien plus importante. Enfin, la source de revenus classique qu’étaient les publicités se retrouvent également sur le numérique.
Pour la défense du numérique, il pourra être rajouté que les journaux non vendus dans les kiosques sont rachetés par le journal (à un prix moindre que celui de vente, évidemment, mais il s’agit toujours d’un coût) et son tout simplement jetés pour être recyclés par la suite. Le format numérique quant à lui ne produit évidemment aucun déchet physique.
En dépit de cette menace que constitue l’avancée des technologies mobiles, et de l’apparente volonté de l’industrie de la presse à s’orienter peu à peu sur un tout numérique, le journalisme papier ne semble pas pouvoir disparaître immédiatement. Pour commencer, tous les usagers ne sont pas prêts pour cette révolution numérique. Ensuite, des habitus ont été mis en place, et sont difficiles à déraciner.
C’est que le papier est un matériau traditionnel. Passer au numérique suppose avoir des compétences pour en disposer correctement. Ce ne sera sans doute pas le cas pour les personnes âgées pour qui rien ne vaut un bon journal, et qui ne comprennent pas qu’on puisse naviguer sur internet avec un objet supposé servir de téléphone. En outre, une relation spéciale s’établit avec le lecteur papier, et l’objet physique lui-même. Il s’agit de retrouver chaque semaine par exemple les propos d’un chroniqueur que l’on suit régulièrement, et on éprouve du plaisir à le découvrir en tournant la page. Enfin, et pas des moindres, la plupart des lecteurs lisent bien plus facilement sur un support papier que sur un écran qui agresserait la vue.
D’autre part, l’histoire de la presse journalistique est en grande partie écrite sur le papier. Aussi, le journalisme a développé de nombreuses techniques spécifiques à son support. Le numérique quant à lui développe actuellement ses propres caractéristiques, dues à la technicité de l’internet. Ainsi, le journaliste doit changer son style d’écriture de sorte qu’un maximum de mots clefs soient placés dès l’introduction, nuisant parfois à la qualité de l’écriture. En ce sens, l’écrit reste une valeur sure, d’autant plus que les articles figurant sur les éditions hebdomadaires sont finement sélectionnés !
Si on peut supposer qu’à long terme le numérique peut arriver à remplacer intégralement le journal papier, on ne peut pas envisager une telle chose dans l’immédiat. En outre, on aura pu constater qu’il s’agit davantage d’une opportunité que d’une menace. D’une part, le modèle économique semble plus serein, quoique peut-être davantage dépendant du marché de la publicité. D’autre part, le journalisme numérique est, par sa nature-même, bien plus respectueux de l’environnement. Enfin, on peut assez facilement envisager une reconversion du personnel classique vers les fonctions liées au numérique tant les méthodes sont proches par tradition, et même envisager la création de nouveaux emplois puisqu’il s’agit ensuite de faire vivre une communauté (sur forum par exemple) autour de l’actualité.
Learning log : quels sont nos apprentissages lors de ce cours ?[modifier | modifier le wikicode]
Question 1[modifier | modifier le wikicode]
Chen Jie[modifier | modifier le wikicode]
Les entreprises ne doivent pas seulement penser au but lucratif. Il faut en même temps penser à son externalité pour la société et pour l’environnement. Il est très important pour les entreprises de trouver des modèles d’économie qui ressoudent les conflits entre la maximisation de profit et les externalité negatives. C’est à dire les modèles d’économie verte ou d’économie circulaire.
Ekombol Frank Loïc[modifier | modifier le wikicode]
Efficacité économique, il s’agit d’assurer une gestion saine et durable, sans préjudice pour l’environnement et le social. Equité sociale, il s’agit de satisfaire les besoins essentiels de l’humanité en logement, alimentation, santé et éducation, en réduisant les inégalités entre les individus, dans le respect de leurs cultures. Qualité environnementale, il s’agit de préserver les ressources naturelles à long terme, en maintenant les grands équilibres écologiques et en limitant des impacts environnementaux.
Jollive Jean-François[modifier | modifier le wikicode]
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Rampon Julien[modifier | modifier le wikicode]
Ce cours incite à réfléchir sur l’impact du développement durable dans une entreprise et comment celui-ci est géré en entreprise. Il provoque aussi un questionnement sur la perception, par la société, des décisions prises, relatives au développement durable en entreprise.
On comprend dès lors que la vision qu’ont ceux qui travaillent sur cet aspect (durable, économie circulaire), sont d’autant d’utopistes qu’ils voient ces modèles comme des « business model » d’avenir. Hors celui-ci ne se distingue en rien des autres. Les déchets deviennent de nouveaux produits pour des entreprises et suivent automatiquement le même cheminement que les industries classiques (Importance du volume…). Le recyclage n’est qu’une aberration servie comme revigorant pour la santé mentale de la nouvelle société. D’autant plus que la part des énergies renouvelables dans le monde reste minoritaire (2% de l’énergie mondiale) et que la marche forcée du recyclage a conduit à promouvoir d’autant plus l’obsolescence programmée, tant décrier par les partisans du développement durable (Nécessité pour les fabricants d’augmenter le taux de renouvellement du matériel afin de pouvoir distribuer de nouveaux produits à moindre coût mais vendus plus chers ou les entreprises de recyclage d’avoir d’autant plus de produits à traiter afin d’augmenter leurs chiffres d’affaires).
Wei Yi[modifier | modifier le wikicode]
On est dans une environnement de business plus concurrentiel qu’avant, on doit développer notre business en réfléchissant le future modèle de business. En effet,les entreprise les plus compétitives sont ceux qui ont bien réfléchi à ce problème.
Question 2[modifier | modifier le wikicode]
Chen Jie[modifier | modifier le wikicode]
J’ai fait connaissance des nouveaux modèles économiques en regardant les vidéos des camarades. Je suis capable de penser de manière critiquée des externalité des entreprises, et d’relever des problématiques et d’analyser la stratégie de développement durable au sein d’une entreprise.
Ekombol Frank Loïc[modifier | modifier le wikicode]
J’ai développé de nouvelles compétences dans le domaine du journalisme d’investigation. Des compétences aussi dans le domaine de la vidéo.
Jollive Jean-François[modifier | modifier le wikicode]
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Rampon Julien[modifier | modifier le wikicode]
On a pu entrevoir les étapes qui précèdent le tournage d’un film. Ce cours a été bénéfique dans le sens où il amène à réfléchir et à comprendre comment l’entreprise parvient à créer et à promouvoir un message autour d’un sujet dont elle peut faire la controverse afin de modifier son image sur la société.
• Réalisation d’un scénario
• Aspects législatifs autour de la réalisation d’une oeuvre
• Réalisation de la post-production d’un film
Wei Yi[modifier | modifier le wikicode]
Il existe toujour des tensions dans une entreprise ou dans une société, des tensions entre le présent et le future, il est important de connaître ces tensions et bien maitriser ces tensions. Une entreprise peux avoir performance plus durable en bien trouvant les solutions pour ces tensions
Question 3[modifier | modifier le wikicode]
Chen Jie[modifier | modifier le wikicode]
Par cette expérience d’apprentissage, j’ai appris non seulement des théories, mais aussi découvert des problématiques en terme de développement durable et de management existantes dans des entreprises en discutant avec des camarades et approfondi la connaissance sur comment des entreprise de presse, de publication gèrent les difficultés financières et sociales sous la pression de support numérique. Je crois que j’appris le plus de mes pairs et du professeur.
Ekombol Frank Loïc[modifier | modifier le wikicode]
J’ai pas vraiment aimé cette expérience d’apprentissage parce que le prof nous donnait un peu trop de liberté. Du coup il fallait chercher les informations chez les pairs qui ne donnaient pas forcément des réponses adéquates.
Jollive Jean-François[modifier | modifier le wikicode]
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Rampon Julien[modifier | modifier le wikicode]
Cette expérience, freelance, a été l’occasion de se rassurer sur l’utilité des méthodes classiques d’apprentissage mais cela été aussi très bénéfique dans le sens où l’espoir que de nouvelles méthodes de travail émergent, soit possible et que l’on ne reste pas cloisonner à des cours magistraux. Par ce cours, on parvient à avoir plusieurs points de vue sur l’aspect de développement durable que ce soit de part les professeurs ou du reste de l’assistance.
Wei Yi[modifier | modifier le wikicode]
On travaille en groupe en discutant les problems, on travail aussi chacun pour sa poste, si quelqun a des problems pour sa part , on va l’aider à régler ces problemes. J’ai appris plein de chose des members dans mon groupe, chaque fois,quand il y a des choses que je ne comprend pas, ils m’expliquent avec patience.
Question 4[modifier | modifier le wikicode]
Chen Jie[modifier | modifier le wikicode]
Inférieur à 25%. Parce que il y a trop d’information sur le Wiki, je ne sais pas par où je trouve celles que je veux.
Ekombol Frank Loïc[modifier | modifier le wikicode]
Inférieur à 25%
Jollive Jean-François[modifier | modifier le wikicode]
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Rampon Julien[modifier | modifier le wikicode]
Je pense avoir utilisé moins de 25% des ressources disponibles du site.
Wei Yi[modifier | modifier le wikicode]
Inférieur à à25%, skem bank est le plus utile pour moi, WIKI n’est pas trés utile pour moi ,car je ne peux pas trouver les informations que je veux pour mon travail.
Question 5[modifier | modifier le wikicode]
Chen Jie[modifier | modifier le wikicode]
Ces pratiques collaboratives m’a appris comment organiser le projet. Comment gérer le risque et le temps dans un projet . Le plus important est de toujours avoir le Plan B !
Ekombol Frank Loïc[modifier | modifier le wikicode]
Les liens associés
Jollive Jean-François[modifier | modifier le wikicode]
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Rampon Julien[modifier | modifier le wikicode]
Les liens vers d’autres sites relatifs au développement durable sont assez faciles d’accès mais les contenus de ces sites reste trop généralistes et évasifs. Ils ne font que survoler l’aspect, sans véritable appel à la discussion ou à la réflexion (MacArthur Website…). Ils m’ont simplement permis de visualiser de la relation que pouvait avoir le développement durable et l’entreprise. Le wiki est un outil de recherche, pas de consultation or les besoins de l’élève sont relatifs à une consultation ou à la vérification de l’avancement d’un projet. Ce type de plateforme ne paraît donc pas adapté.
Wei Yi[modifier | modifier le wikicode]
Non.
Question 6[modifier | modifier le wikicode]
Chen Jie[modifier | modifier le wikicode]
Le cours est bien, sauf le system Wiki qui est compliqué. Certains groupes font des échanges qui n’ont rien à voir avec le programme.
Ekombol Frank Loïc[modifier | modifier le wikicode]
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Jollive Jean-François[modifier | modifier le wikicode]
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Rampon Julien[modifier | modifier le wikicode]
Il s’agit d’un projet de groupe et comme tout projet de groupe, les relations entre les individus et l’envie de travail de chacun sont les principaux déterminants de l’influence des pratiques collaboratives. La pseudo-répartition des tâches au départ se retrouve vite inutile lorsque l’utilité s’en fait sentir. La création d’un système bancaire reste vraiment accessoire. Les personnes qui l’utilisent se côtoient chaque jour et ne se servent pas vraiment de ce système. Le prêt de matériel se fait de gré à gré, sans contrepartie financière virtuelle. Le marché noir est donc véritablement plus répandu.
Wei Yi[modifier | modifier le wikicode]
Je pense que on doit apprendre quelque choses avant de faire le travail. Je n’ai pas appris beaucoup de chose pour faire mon travail.
Question 7[modifier | modifier le wikicode]
Chen Jie[modifier | modifier le wikicode]
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Ekombol Frank Loïc[modifier | modifier le wikicode]
ne présence un peu plus accrue des profs pour vraiment aiguiller le travail des équipes et favoriser la production d’un travail de meilleure garantie. Le prof nous a balancé dans la nature sans vraiment nous donner plus de précisions.
Jollive Jean-François[modifier | modifier le wikicode]
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Rampon Julien[modifier | modifier le wikicode]
Un cours qui nécessiterait plus d’apports théoriques afin de mieux cerner le sujet. Une finalité peut-être moins exigeante serait la bienvenue car l’accumulation de contraintes (horaires ou réglementaires) inclut trop fortement sur la qualité du rendu final. Je crois qu’il serait bien que chaque groupe choisisse le format de rendu qui lui convienne, avec toujours certaines directives et que les dates de rendu restent fixées, mais qu’ils y aient possibilité de modifier au cours du projet les informations entrées afin qu’elles soient revérifier pour savoir si elles rentrent dans le cadre du cours. Enfin, une alternative à l’interview devrait être possible car cet aspect reste trop probabiliste dans un monde, où l’économie actuelle ne favorise pas les employés à «perdre du temps » pour une interview.
Wei Yi[modifier | modifier le wikicode]
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Votre feedback - Groupe 124[modifier | modifier le wikicode]
Problématique intéressante et bien traitée. L’article est très intéressant et très complémentaire de la vidéo qui est-elle de très bonne qualité. De plus le scénario est original. L’enquête est bien menée. L’argumentation est crédible. Bravo